Il est toujours trop tard,
bien trop tôt
Le partage de mon histoire,
comme point de départ.
Le 17 janvier dernier, cela faisait une semaine que je traînais une angine carabinée. Une de ces angines si douloureuse, que je n’arrivais même plus à sortir un son de ma bouche.
De nature inquiète et habitant loin de Paris où j’y fais mes études, mon père avait pour habitude de me téléphoner chaque jour.
Attention, il ne fallait pas que je manque son appel, sans quoi il ferait débarquer les pompiers chez moi d’une minute à l’autre.
Ce jour là, ce 17 janvier, fiévreuse et agacée de devoir parler avec la douleur, j’ai anticipé son check up quotidien en lui écrivant un message :